Notarianne - Conseil en gestion des RH et management

LA POLITIQUE DE PARENTALITÉ : UN BONUS À LA PORTÉE DE TOUTES LES ENTREPRISES

Prendre en compte dans l’entreprise le bouleversement que représente la parentalité pour les salariés

Une entreprise peut employer des femmes. Ces femmes peuvent être enceintes et s’absenter le temps d’un congé maternité. Dans certaines entreprises, comme par exemple les Offices notariaux qui sont souvent composés d’un grand nombre de femmes, ce schéma est si régulier qu’on l’évoque bien souvent sans prendre en considération les conséquences de ce moment sur la santé physique et psychologique de la femme et sur la santé sociale et économique de l’entreprise.

L’entreprise et la grossesse

On a l’habitude de partager une grossesse en trois trimestres. Pourtant, il semblerait qu’il en existe deux autres : 

  • Le 4° trimestre : le post-partum, de plus en plus mis en lumière et on ne peut que s’en réjouir,
  • Le 5° trimestre : le retour du congé maternité qui, quant à lui, est encore bien trop dans l’ombre.

Il faut en effet le dire sans détour, nombreuses sont les femmes qui redoutent leur retour.

Grossesse plus ou moins bien perçue, remplacement rare, mise au placard et régression sont encore trop souvent au rendez-vous.

« Je ne compte pas le nombre d’entretiens / séances de coaching pendant lesquels on m’a dit « mon départ a été si mal pris et si mal organisé que j’ai été angoissée à l’idée de revenir » » nous indique Marianne Genévrier, dirigeante du cabinet Notarianne.

Dénigrer ce 5° trimestre, c’est ouvrir grand la porte à de forts risques organisationnels et psychologiques au sein de la structure. C’est un danger pour la marque employeur, la performance et donc pour l’entreprise. Alors, que faire pour améliorer les choses ?

Pour commencer : quelques bonnes pratiques

  • Respecter les droits liés à ce moment professionnel (entretien professionnel et visite médicale, bonjour !)
  • Donner confiance aux femmes dans le fait de reprendre le travail, leur donner envie même !
  • Les accueillir avec gentillesse. Eviter absolument le « alors, c’était bien les vacances ?! ».
  • S’assurer également que les parents aient pu sélectionner le « bon » mode de garde pour leur enfant et leur équilibre familial. C’est bien cette sérénité qui engendrera le confort de travail et la performance. Et puis, sans garde, pas de reprise sereine ! 

Et tout cela est bien-sûr valable pour les hommes qui reprennent après leur congé paternité !

Pour aller plus loin : « la politique de parentalité »

Ensuite, pour aller plus loin, les entreprises ont tout intérêt à permettre la co-construction d’une « politique de parentalité » en interne. C’est là que Notarianne intervient. Ce qui est absolument génial dans la « politique de parentalité », c’est qu’elle prend en compte la grossesse et l’adoption, mais pas que ! Les salariés, femmes ET hommes, qui vivent un parcours PMA, une dépression post-partum, une fausse couche, un deuil périnatal… ne sont pas laissés de côté. 

Une « politique de parentalité » représente un énorme vecteur d’attractivité et n’est pas du tout réservée aux grandes structures. Ne nous arrêtons pas à la seule option de la crèche d’entreprise. Dans une « politique de parentalité », il existe beaucoup de pratiques qui ne coutent rien et dont on aurait tort de se priver.

Débutez l’année avec de bonnes résolutions et menez votre « parental challenge » avec Notarianne ! 

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